Louis Bernardi continue ses amusements littéraires autour de Carlo Emilio Gadda, qui s'y prête de bonne grâce. Cette fois, une parenthèse perdue dans une traduction permet des commentaires inespérés, rêveries implicites en prime, dans Les infidèles ne sont pas toutes belles. Inutile de dire à Louis Bernardi que notre porte lui reste ouverte à d'autres aventures.
Et puisque nous en sommes à quelques nouveautés, voici aussi, dans Images, des photographies prises au cours de promenades au centre de Paris.