Éveline Lavenu nous avait déjà donné quelques-unes de ses peintures acryliques sur La Hague et sur Les vaches, et de ses gouaches, sur lesquelles notre compagnon Henri Harismendy avait écrit un bel article, Femmes. Elle complète ses gouaches de neuf nouvelles venues. Nous voici davantage dans l'intimité d'une création qui, dans une vive capture des apparences et une ascèse du trait continu, s'approche mieux chaque jour des mystères de la chair et de la grâce.
dimanche 21 septembre 2008
Éveline Lavenu: bloc de croquis
Éveline Lavenu nous avait déjà donné quelques-unes de ses peintures acryliques sur La Hague et sur Les vaches, et de ses gouaches, sur lesquelles notre compagnon Henri Harismendy avait écrit un bel article, Femmes. Elle complète ses gouaches de neuf nouvelles venues. Nous voici davantage dans l'intimité d'une création qui, dans une vive capture des apparences et une ascèse du trait continu, s'approche mieux chaque jour des mystères de la chair et de la grâce.